Quand les Malandain furent rentrés

Quand les Malandain furent rentrés dans leur chaumière, la dernière du hameau de la Sablière, sur la route de Fourville, le père, un vieux petit paysan sec et ridé, s'assit devant la table, pendant que sa femme décrochait la marmite et que sa fille Adélaïde prenait dans le buffet les verres et les assiettes, et il dit : « Ça s'rait p'têtre bon, c'te place chez maîtr' Omont, vu que le v'là veuf, que sa bru l'aime pas, qu'il est seul et qu'il a d'quoi. J'ferions p'têtre ben d'y envoyer Adélaïde. »
La femme posa sur la table la marmite toute noire, enleva le couvercle, et, pendant que montait au plafond une vapeur de soupe pleine d'une odeur de choux, elle réfléchit.
L'homme reprit : « Il a d'quoi, pour sûr. Mais qu'il faudrait être dégourdi et qu'Adélaïde l'est pas un brin. »

Résultats (Espagnol) 1:

cuando Malandain se volvió a su casa de campo, el último pueblo de la fosa, en la carretera de Fourville, padre, un viejo campesino poco seco y arrugado, se sentó a la mesa, mientras su mujer se llevó el bote y su hija Adelaida tuvo en las copas de buffet y platos, y él dijo: "s'rait p'têtre buen lugar c'te en Butler Omont, como Blowin viudoque su hija le gusta, y es sólo lo que tiene. j'ferions p'têtre ben enviar Adelaida. "
La mujer se puso sobre la mesa todas pote negro, retira la tapa, y si bien el aumento de la sopa vapor techo lleno de olor a repollo, piensa
hombre continuó:." Es a Lo que, sin duda. pero sería dégourdi y Adelaide no es un poco. "