From a technical standpoint the fil

From a technical standpoint the film remains as solid as ever though. Chris Miller easily takes over the direction from Andrew Adamson and keeps it consistent in terms of look and feel, the ogres in particular are very effectively imbued with subtle, but more expressive body language and emotional physicality. Editing is slick, fairytale and pop culture references are abound, whilst the score mixes up energetic stuff from Wolfmother's "The Joker and The Thief" to a well incorporated dash of Wings' classic James Bond theme song "Live and Let Die."

The cast do solid jobs, mixing it up with each other easier than ever before, whilst newcomers Justin Timberlake and Eric Idle acquit themselves quite well - even though they are both stuck with the weakest characters of the film. Artie is a likeable young lead, but is simply too straight-laced (his few attempts at comedy don't work), whilst the eccentric Merlin is merely an annoying klutz.

Even Banderas and Murphy, given such great lines and moments in the last two films, are somewhat neutered here as they become stuck with some rather old-hat body-swapping gags. Some of the slack though is taken up by Myers and Diaz whose characters get a surprising amount of development. Even if it all comes to a predictable conclusion, the issues it covers are quite mature ones that kids may find annoying but parents (especially new fathers) may find themselves empathizing with.

People don't come to "Shrek" for moral lessons though, they come for the comedy and a steady stream of gags ensures there's also quite a bit that will get audiences chuckling. A "Family Guy"-esque drawn-out death scene and a clever nightmare involving a tsunami of ogre infants are the most memorable set pieces, but lots of smaller ones throughout keep things light and move the humor back towards the more general fairytale parody of the first film than the all too post-modern satire that cropped up at times in the second.

The film's most enjoyable subplot involves a quite thrilling coup d'etat of Far Far Away by the various villains of the fairy tale world, and an eventual insurrection by Fiona and assorted princesses like Snow White, Sleeping Beauty and Cinderella. Not as effective, but still fun is a trip to Artie's high school and the subsequent jokes about cliques.

Résultats (Français) 1:

D'un point de vue technique, le film reste solid comme toujours cependant. Chris Miller reprend facilement la direction d'Andrew Adamson et garde il cohérente en ce qui concerne le look et la sensation, les ogres en particulier sont très efficacement imprégnée de subtiles, mais plus expressif de la gestuelle et émotionnelle physicalité. Montage est lisse, conte de fées et de la pop culture références sont abondent, alors que le score se mélange énergique choses à partir "The Joker et le voleur" de Wolfmother à un tableau de bord bien constituée de Wings classique James Bond theme song « Live and Let Die. »Les emplois de solides cast, mélangeant uns avec les autres plus facile que jamais, tandis que les nouveaux arrivants, Justin Timberlake et Eric Idle acquittent eux-mêmes assez bien - même si ils sont tous deux coincé avec les personnages les plus faibles du film. Artie est un jeune sympathique, mais il est tout simplement trop fantasque (ses quelques tentatives de comédie ne fonctionnent pas), alors que l'excentrique Merlin est simplement un klutz ennuyeux.Même Banderas et Murphy, compte tenu de ces grandes lignes et les moments dans les deux derniers films, sont stérilisés un peu ici car elles bloquent avec certains gags plutôt vieux chapeau de permutation de corps. Certains le mou mais est repris par Myers et Diaz dont les caractères obtenir une quantité surprenante de développement. Même si tout cela arrive à une conclusion prévisible, les questions qu'elle couvre sont assez matures que les enfants peuvent trouver ennuyeux mais parents (surtout les nouveaux pères) se retrouver empathie avec.Personnes ne viennent pas à « Shrek » pour les leçons de morale bien, ils viennent pour la comédie et une file ininterrompue de gags assure il y a aussi un peu qu'obtiendront les auditoires en ricanant. Un « Family Guy »-esque interminable scène de la mort et un cauchemar intelligent mettant en cause un tsunami des nourrissons de l'ogre sont les plus mémorables coups de pied arrêtés, mais beaucoup de plus petits tout au long de garder la lumière des choses et déplacer l'humour vers la parodie de conte de fées plus générale du premier film que la satire trop post-moderne tous qui surgi parfois dans la seconde.Intrigue secondaire plus agréable du film implique un coup tout à fait passionnant de Far Far Away par les méchants divers du monde féerique et une éventuelle insurrection par Fiona et princesses assorties comme blanche-neige, la belle au bois dormant et Cendrillon. Pas aussi efficace, mais toujours amusant est un voyage au lycée d'Artie et les blagues ultérieures sur cliques.

Résultats (Français) 2:

Du point de vue technique, le film reste aussi solide que jamais cependant. Chris Miller prend facilement sur ​​la direction d'Andrew Adamson et assure une cohérence en termes de look and feel, les ogres en particulier sont très efficacement imprégnée subtile, mais le langage du corps plus expressive et émotionnelle physicalité. L'édition est lisse, de contes de fées et de la pop références à la culture sont abondent, tandis que le score mélange des trucs énergique de Wolfmother "The Joker et le voleur" à un tableau de bord bien incorporés du classique de James Bond theme song Wings "Live and Let Die." Le casting faire des travaux solides, en le mélangeant avec l'autre plus facile que jamais, tandis que les nouveaux arrivants Justin Timberlake et Eric Idle se acquittent très bien - même si elles sont à la fois coincés avec les personnages les plus faibles du film. Artie est un jeune plomb sympathique, mais il est tout simplement trop collet monté (ses quelques tentatives de la comédie ne fonctionnent pas), tandis que l'excentrique Merlin est simplement un klutz ennuyeux. Même Banderas et Murphy, compte tenu de ces grandes lignes et des moments dans la dernière deux films, sont peu castrés dès qu'ils seront coincés avec quelques gags plutôt de corps-swapping vieux chapeau. Un peu de mou mais est repris par Myers et Diaz dont les personnages obtenir une quantité surprenante de développement. Même si tout cela arrive à une conclusion prévisible, les questions qu'elle couvre sont ceux assez matures que les enfants peuvent trouver ennuyeux, mais les parents (surtout les nouveaux pères) peuvent se trouver empathie avec. Les gens ne viennent pas à "Shrek" pour des leçons de morale si, ils viennent pour la comédie et un flux régulier de gags assure il ya aussi un peu qui obtiendra public ricanant. Une scène "Family Guy" -esque haleine mort et un cauchemar intelligente impliquant un tsunami de nourrissons ogres sont fixés les pièces les plus mémorables, mais beaucoup de petits gardent tout au long de la lumière des choses et se déplacent l'humour en arrière vers la parodie de conte de fées plus générale de le premier film que la satire trop post-moderne qui a surgi à des moments dans la deuxième. subplot plus agréable du film implique un tout à fait passionnant coup d'Etat de Far Far Away par les divers méchants du monde de conte de fées, et une éventuelle insurrection par Fiona et princesses assortis comme Blanche-Neige, Belle au Bois Dormant et Cendrillon. Pas aussi efficace, mais toujours amusant est un voyage à l'école secondaire de Artie et les blagues subséquentes au sujet de cliques.

Résultats (Français) 3:

d'un point de vue technique, le film demeure plus solides que jamais.chris miller facilement prend la direction de andrew adamson et continue et cohérente en termes de, les ogres en particulier sont très efficacement imprégné de subtiles, mais plus expressif, le langage corporel et psychologique physique.le montage est lisse, conte de fées et de références à la culture pop foisonnent,alors que le score mélange énergique des trucs de wolfmother est "le joker et le voleur » d'un bien intégré dash d'ailes classique de james bond theme song" vivre et laisser mourir. "

le cast ne emplois solides mélanger les uns avec les autres, plus que jamais,alors que les nouveaux arrivants justin timberlake et eric idle s'acquitter bien - même s'ils sont coincés avec les plus faibles les personnages du film.artie est un sympathique jeune, mais est simplement trop guindés (son peu de tentatives d'humour ne travaille pas), tandis que l'excentrique merlin est simplement un agaçant empoté.

même banderas et murphy,compte tenu de ces grandes lignes et moments dans les deux derniers films, sont quelque peu castré ici lorsqu'ils sont coincés avec quelques vieux chapeau un échange de corps de gags.quelque chose s'est repris par myers et diaz dont les personnages se une quantité étonnante de développement.même si c'est à une conclusion prévisible,