UN CYBER AMOUR!Nouvelle CHAPITRE I C'était une nuit du mois de Mars, c traduction - UN CYBER AMOUR!Nouvelle CHAPITRE I C'était une nuit du mois de Mars, c Allemand comment dire

UN CYBER AMOUR!Nouvelle CHAPITRE I

UN CYBER AMOUR!

Nouvelle
CHAPITRE I


C'était une nuit du mois de Mars, calme, propice à la réflexion, je profitais pour publier une contribution sur la vie associative dans ma ville, belle petite cité du littoral méditerranéen, où les gens cèdent facilement à la torpeur, pendant que je publiais, que vois-je? un commentaire que je m'empresse de dévoiler d'un clic, je venais de faire un salto mortale, la petite faiblesse qui me perdra! elle s'appelait M.I.S!
Pris d'une fièvre irrésistible, je lui envoie une invitation qui est restée une éternité, puis soudain les portes du ciel s'ouvrent, elle l'a acceptée! comme dirait Brigitte Bardot je suis parti au Paradis mais dans un train d'enfer!

Alors, de simple internaute désinvolte, sexagénaire, j'ai mué comme une chrysalide, en fervent papparazzi de M.I.S, je guettais ses moindres apparitions, dans un réflexe pavlovien, je me suis même surpris à m'intéresser au yoga et aux hindous parce que L., sa fille y séjournait dans un cadre professionnel.

Je me suis aussi découvert des talents de photographe, m'isolant comme un autiste pour prendre le cliché qui va éveiller en elle un sentiment raffiné, y associant même quelques formules magiques des marabouts d'Afrique, je venais de comprendre Céline Dion !

La meilleure et pas des moindres c'est quand elle me confessa qu'elle était végétalienne, j'ai aussitôt renié mon régime omnivore pour me terrer comme une hyène du Massaï Mara quand par instinct de survie, je "dévorais" une innocente sardine, les gens autour de moi devenaient suspects, au cas où quelqu'un s'aviserait de m'inclure dans sa photo souvenir, et si elle me voyait en arrière plan en "prédateur de sardines!", je me suis surpris à détester le concepteur de facebook, qu'on me laisse le temps d'évoluer à mon propre rythme! je finirai par être végétalien un jour, mais qu'on m'en laisse le temps!

Je me suis aussi improvisé écolo, entre Nicolas Hulot et le commandant Cousteau, pantalon retroussé, et manches relevées, je ne quittais pas le rivage, je suis devenu un ami attentionné des crabes, des méduses, je parlais aux oursins, je me vautrai même dans l'herbe comme un lézard, je saluais les fleurs, ah! la nature humaine! il fallait réussir ma transition, il fallait me voir au port pétrolier, baignant les pieds dans l'eau et entrainant mon meilleur ami dans des postures périlleuses pour le bon angle de prise de vue, il se dévouait à la besogne.

Et le soir, un sourire béat illuminant ma face, je me prenais pour Orson Welles et Woody Allen réunis, je découvrais le monde hollywoodien, le montage n'a plus de secret pour moi, je choisissais les clichés, et envoyais mon anatomie par bribes, sous des angles avantageux, comme des pièces LEGO, en kits, une main par ci, une fesse par là, des gros plans que je voulais "suggestifs", des attitudes zen, le Mahatma Gandhi revisité, et en embuscade je guettais les réactions entrevoyant quelque espoir.

Et c'est ainsi que m'étant accoutumé à sa présence envoûtante, je la suivais partout sur Facebook, lisant et commentant ses moindres faits et gestes, je voyais avec ses yeux! j'aimais à travers elle, elle a réussi à me faire découvrir la grâce des paroles, mes commentaires étaient triés au volet, un savant dosage de pertinence et d'humour, je pouvais même sacrifier la première pour le deuxième, il fallait plaire! quelle rude loi! une dictature.

Je dois confesser qu'en retour, hélas! elle ne faisait pas grand cas de mon étalage indigent, pacotille! rien ne troublait son "nirvana" je glissais en silence lubrifié sur la rampe de son indifférence, Bouddha s'était incarné en elle! je gesticulais comme un orang-outan pour me faire remarquer, je m'égosillais comme Kennedy,"ich bein ein berliener!" rien à faire, je demeurais évanescent, transparent, volatile, c'est vrai qu'elle me rappelait une de mes anciennes lectures du temps où j'étais jeune étudiant en médecine : "the loneliness of the long distance runner", la solitude du coureur de fond! c'était exactement mon état, la tâche était au dessus de mes moyens, et aucun secours ni recours possibles, je prenais irrémédiablement le chemin en pente escarpée, chaotique, et poussiéreux vers Heartbreak Hotel.

Mais, heureusement il y a un mais, au moment où je me résignais, agonisant, à mon sort, pour quelques instants seulement, comme sous l'effet d'un enchantement, elle consentait enfin, à redevenir réelle, humaine, mais vraiment l'espace de quelques secondes, furtives, et ça repartait en pétarades, je faisais la roue, fallait me voir, un dindon! je vous dis, quel panache! je me pavanais comme ses paons qu'on voit dans les zoos, je vous prenais de ces airs, des envolées lyriques décousues, je me voyais en Salvadore Dali avec sa moustache en handlebar, faisant tournoyer sa canne à l'hotel Meurisse, Luis Mariano avec sa belle de Cadix peut aller se rhabiller, Georges Clooney dans la "pub" Nespresso, avec un sourire en coin, un sourcil relevé, front plissé et son ridicule " What else?" était minable, j'étais un roi, le roi de Prusse, que dis-je? le bon Roi Dagobert himself! avançant comme un toréro, dans mon habit brodé et mon sobrero à plumes, sous les olé! de la foule bariolée en Catalogne, brillant de mille feux, oh! solé mio! j'allais à la rencontre de Lilly Marlène! au plus haut de mon élan, les nuages factices et cotonneux dans lesquels je flottais ne tardent pas à se dissiper pour me laisser retomber en "torche" comme ces parachutistes malheureux qui rataient leur saut, la drag-queen, l'extraterrestre, la chimère, pareille au génie de la lampe d'Aladin s'élevait comme une montgolfière dans le ciel, une aurore boréale, dansante, faisant de moi un Don Quichotte de la Mancha pathétique sur une mule cachectique et décharnée.

Encore une fois et comme je vous l'avais déjà ressassé: elle était on ne peut plus allemande!, deutsche! german! mais les douches qu'elle me faisait prendre étaient elles, bien écossaises! so scottish!

Au fil des jours, je découvrais la personnalité de M.I.S, qui était à la fois une femme mûre au sens de la plénitude physique, de l'expérience de la vie, et une fillette sur le plan de ses réactions spontanées qui j'avoue me surprenaient parfois, tout en interprétant cela comme un réflexe féminin de défense pour contenir un " mâle trop entreprenant", cela ne durait que quelques instants, le temps j'imagine qu'elle se ressaisisse en pensant que sa réaction était inadaptée à la situation, et qu'elle avait dramatisé.

Il m'en a fallu des trésors d'ingéniosité pour maintenir le cap, me rappelant que cette nouvelle que j'écris doit, en principe aboutir à une " happy end", elle avait le don inné de trouver le déclic idéal pour me remettre sur la voie, le geste simple qui remettait de l'ordre et ouvrait les portes, comme par exemple, mettre en ligne une vidéo de ma ville qui je crois l'attire, elle aimait ce mystère de découvrir des endroits, des rues où "l'autre" vadrouille, le résultat est là, elle projette de venir à Béjaïa!!!!!!Youpiiiiiiiii.
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Eine CYBER-Liebe!

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Kapitel I


es war eine Nacht für den Monat März, ruhig, zur Reflexion, nutzte ich einen Beitrag über das verbindende Leben in meiner Stadt, schöne kleine Stadt der Mittelmeerküste, Post bei Menschen leicht auf die Trägheit Ertrag während ich veröffentlicht, dass ich sehen? eine Bemerkung, die ich beeile mich zu einen Klick zu enthüllen Ich hätte nur ein Salto Mortale, kleine Schwäche, die mich zu verlieren! Es hieß M.I.S!
genommen unwiderstehlich Fieber, ich schickte ihm eine Einladung, die für immer blieb, dann plötzlich die Tore des Himmels öffnen, sie akzeptiert! Wie sieht aus wie Brigitte Bardot, ging ich ins Paradies, sondern in einem Zug zur Hölle!

dann, einfache Surfer Leger, Sexagenarian,. Ich habe als ein Chrysalis in glühenden Papparazzi M.I.S entwickelt, ich sah seine geringsten Auftritte in einem Pawlowschen Reflex, ich bin selbst überrascht mein Interesse an Yoga und Hindu, weil l., seine Tochter in einem professionellen Rahmen bleiben

außerdem entdeckte ich die Talente von Fotografen,. isolieren mich als Person mit Autismus um den Snapshot zu erstellen, die darin eine verfeinert, bei denen sogar ein paar magische Formeln der Marabouts Afrikas zu wecken wird ich wollte Céline Dion verstehen!

die besten und nicht zuletzt ist es, wenn sie gestand, dass sie Vegan, war Ich sofort verweigert meiner allesfressenden Ernährung für Dig mich wie eine Hyäne die Masai Mara wenn von Überlebensinstinkt, ich "verschlang" eine unschuldige Sardine, Menschen um mich herum wurde misstrauisch, wenn jemand verpflichtet sich, mich in ihr Foto-Souvenir aufzunehmen, und wenn sie mich im Hintergrund in "Predator Sardinen!" sah, ich überrascht mich Facebook Designer zu hassen, Diese Blätter, mir Zeit um zu bewegen, in meinem eigenen Tempo! Abschließend möchte ich als Veganer einen Tag, aber das lässt mich Zeit!

ich auch improvisiert Ecolo, zwischen Nicolas Hulot Kommandant Cousteau, Hose aufgerollt und Ärmel festgestellt, ich wollte nicht gehen, das Ufer, wurde ich nachdenklich angefreundet Krebse, Quallen, ich sprach mit Seeigeln, Ich Vautrai sogar im Gras wie eine Eidechse, begrüßte ich die Blumen, ah! menschliche Natur! Mein Wandel müssen, musste mich am Öl Hafen, Baden die Füße im Wasser und mein bester Freund in gefährlichen Lagen für den richtigen Winkel schießen, wodurch sehen er widmete sich der Aufgabe.

und am Abend einem süffisanten Lächeln leuchtenden mein Gesicht, Ich nahm mir Orson Welles und Woody Allen zusammen, ich entdeckte die Hollywood-Welt, Montage hat keine Geheimnisse für mich, ich wählte die Klischees, und schickte mein Heiligstes in Bruchstücke, unter günstigen Winkel als die LEGO-Teile, Kits, eine Hand von Ci, ein Hinterteil, Closeups, die ich wollte "suggestiv" Zen-HaltungMahatma Gandhi revisited, und einen Hinterhalt ich ungeduldig Reaktionen vorauszusehen einige Hoffnung.

und also mir wird daran gewöhnt, seine eindringlichen Präsenz, ich alles über Facebook folgte, lesen und kommentieren auf seinem jeden Aktionen und Gesten, ich sah mit eigenen Augen! Ich liebte es, schaffte sie es, mir die Gnade der Texte entdecken, meine Kommentare wurden in den Bereich sortiert, eine geschickte Mischung von Relevanz und Humor, ich konnte sogar die erste zum zweiten Opfern, musste er bitte! Was harte Gesetz! eine Diktatur.

ich muss gestehen im Gegenzug leider! Es war nicht viel von meinen Arm Ladendiebstahl, Junk! nichts gestört, was seine "Nirvana" Ich rutschte im Hintergrund auf der Rampe der seine Gleichgültigkeit, Buddha geschmiert in ihm verkörperte war! Ich Gesticulais wie ein Orang-Utan mich bemerkt, ich Égosillais mich wie ein Kennedy, "Ich Bein Ein Berliener!" zu tun, ich war flüchtig, transparent, flüchtige, es stimmt, dass es mich an einen meiner alten Lesarten aus der Zeit erinnerte ich junger Medizinstudent war: "the Loneliness of the long distance Runner", die Einsamkeit der Mittel-und Langstreckenläufer! Das war genau mein Zustand, die Aufgabe war über meine Mittel und keine Erleichterung oder Rechtsmittel möglich, ich nahm unwiederbringlich steil, chaotischen und staubigen abfallenden Pfad zu Heartbreak Hotel.

aber zum Glück gibt es eine, aber an dem Punkt, wo ich selbst zurückgetreten, sterben, mein Schicksal für ein paar Sekunden nur, als die Auswirkungen der eine Verzauberung sie schließlich eingewilligt, zu real, menschliche, aber wirklich der Raum von ein paar Sekunden, Stealth und es zog wieder unter Schock, ich war dabei, das Rad, musste mich, einen Truthahn zu sehen! Ich sage Ihnen, was Flair! Ich Pavanais als seine Pfauen in Zoos zu sehen, ich nahm sah ich mich diese Melodien, unzusammenhängende lyrische Flüge in Salvadore Dali mit seinen Lenker Schnurrbart, drehte seinen Stock auf der Hotel-Meurisse Luis Mariano mit seinen schönen von Cadiz kann gehen, anziehen, Georges Clooney im "Pub" Nespresso, mit einem Lächeln, einem angehobenen Augenbraue Plissee Front und seine lächerlich "Was sonst?" war lausig, ich war ein König, der König von Preußen, was ich sage? Bon Roi Dagobert selbst! voran als ein Stierkämpfer in mein besticktes Kleid und meine Sobrero gefedert, unter die Olé! die Menge Kunterbunter in Katalonien, hell, Ach! sole Mio! Lilly Marlene treffen wollte! hohe mein Schwung, dummy und Cordstoffe Wolken, in denen ich schwebte, waren nicht langsam, ließ mich verlieben "Fackel" als diese unglücklichen Fallschirmjäger, die verpasst ihren Sprung, der Drag-Queen, der Ausländer, die Chimäre zu zerstreuen ähnlich wie das Genie der Lampe von Aladdin Stand als ein Ballon in den Himmel, ein Aurora boreal, tanzen, macht mich ein Don Quijote von der Mancha, pathetisch auf ein verschwenden Maultier und abgemagert.

noch einmal und als ich Sie bereits wohnte hatte es: sie war nur deutsche!, Deutsche! Deutsch! Allerdings waren die Duschen, die sie treffen, Sie auch schottische! Also schottischen!

in den Tagen entdeckte ich die Persönlichkeit des M.I.S, war sowohl eine reife Frau im Sinne der physischen Fülle von Lebenserfahrung und ein Mädchen im Hinblick auf ihre spontanen Reaktionen, die ich mir gestehen überraschen manchmal beim interpretieren dies als eine weibliche Verteidigung-Reflex "auch unternehmungslustige männlich" enthalten, Das dauerte nur wenige Augenblicke, die Zeit ich mir vorstellen, dass sie verleiten zu erholen, dass seine Reaktion auf die Situation sei und dass es dramatisiert hatte.

es hat mich die Schätze von Genialität weiterhin Kurs, erinnerte mich, dass dieses neue ich schreibe im Prinzip zu einem "happy End" führen muss Sie hatte die angeborene Gabe der Klick ideal um zurück auf die Straße zu finden, zeichnet die einfache Geste, die die Reihenfolge in Frage gestellt und öffnete die Türen, wie zum Beispiel eine Video von meiner Stadt hochladen, dass ich es kaum glauben, sie liebte dieses Geheimnis zu entdecken, Straßen, wo "der andere" MOP, das Ergebnis ist da, sie will nach Bejaia kommen!Youpiiiiiiiii.
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UN CYBER AMOUR!

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CHAPITRE I


C'était une nuit du mois de Mars, calme, propice à la réflexion, je profitais pour publier une contribution sur la vie associative dans ma ville, belle petite cité du littoral méditerranéen, où les gens cèdent facilement à la torpeur, pendant que je publiais, que vois-je? un commentaire que je m'empresse de dévoiler d'un clic, je venais de faire un salto mortale, la petite faiblesse qui me perdra! elle s'appelait M.I.S!
Pris d'une fièvre irrésistible, je lui envoie une invitation qui est restée une éternité, puis soudain les portes du ciel s'ouvrent, elle l'a acceptée! comme dirait Brigitte Bardot je suis parti au Paradis mais dans un train d'enfer!

Alors, de simple internaute désinvolte, sexagénaire, j'ai mué comme une chrysalide, en fervent papparazzi de M.I.S, je guettais ses moindres apparitions, dans un réflexe pavlovien, je me suis même surpris à m'intéresser au yoga et aux hindous parce que L., sa fille y séjournait dans un cadre professionnel.

Je me suis aussi découvert des talents de photographe, m'isolant comme un autiste pour prendre le cliché qui va éveiller en elle un sentiment raffiné, y associant même quelques formules magiques des marabouts d'Afrique, je venais de comprendre Céline Dion !

La meilleure et pas des moindres c'est quand elle me confessa qu'elle était végétalienne, j'ai aussitôt renié mon régime omnivore pour me terrer comme une hyène du Massaï Mara quand par instinct de survie, je "dévorais" une innocente sardine, les gens autour de moi devenaient suspects, au cas où quelqu'un s'aviserait de m'inclure dans sa photo souvenir, et si elle me voyait en arrière plan en "prédateur de sardines!", je me suis surpris à détester le concepteur de facebook, qu'on me laisse le temps d'évoluer à mon propre rythme! je finirai par être végétalien un jour, mais qu'on m'en laisse le temps!

Je me suis aussi improvisé écolo, entre Nicolas Hulot et le commandant Cousteau, pantalon retroussé, et manches relevées, je ne quittais pas le rivage, je suis devenu un ami attentionné des crabes, des méduses, je parlais aux oursins, je me vautrai même dans l'herbe comme un lézard, je saluais les fleurs, ah! la nature humaine! il fallait réussir ma transition, il fallait me voir au port pétrolier, baignant les pieds dans l'eau et entrainant mon meilleur ami dans des postures périlleuses pour le bon angle de prise de vue, il se dévouait à la besogne.

Et le soir, un sourire béat illuminant ma face, je me prenais pour Orson Welles et Woody Allen réunis, je découvrais le monde hollywoodien, le montage n'a plus de secret pour moi, je choisissais les clichés, et envoyais mon anatomie par bribes, sous des angles avantageux, comme des pièces LEGO, en kits, une main par ci, une fesse par là, des gros plans que je voulais "suggestifs", des attitudes zen, le Mahatma Gandhi revisité, et en embuscade je guettais les réactions entrevoyant quelque espoir.

Et c'est ainsi que m'étant accoutumé à sa présence envoûtante, je la suivais partout sur Facebook, lisant et commentant ses moindres faits et gestes, je voyais avec ses yeux! j'aimais à travers elle, elle a réussi à me faire découvrir la grâce des paroles, mes commentaires étaient triés au volet, un savant dosage de pertinence et d'humour, je pouvais même sacrifier la première pour le deuxième, il fallait plaire! quelle rude loi! une dictature.

Je dois confesser qu'en retour, hélas! elle ne faisait pas grand cas de mon étalage indigent, pacotille! rien ne troublait son "nirvana" je glissais en silence lubrifié sur la rampe de son indifférence, Bouddha s'était incarné en elle! je gesticulais comme un orang-outan pour me faire remarquer, je m'égosillais comme Kennedy,"ich bein ein berliener!" rien à faire, je demeurais évanescent, transparent, volatile, c'est vrai qu'elle me rappelait une de mes anciennes lectures du temps où j'étais jeune étudiant en médecine : "the loneliness of the long distance runner", la solitude du coureur de fond! c'était exactement mon état, la tâche était au dessus de mes moyens, et aucun secours ni recours possibles, je prenais irrémédiablement le chemin en pente escarpée, chaotique, et poussiéreux vers Heartbreak Hotel.

Mais, heureusement il y a un mais, au moment où je me résignais, agonisant, à mon sort, pour quelques instants seulement, comme sous l'effet d'un enchantement, elle consentait enfin, à redevenir réelle, humaine, mais vraiment l'espace de quelques secondes, furtives, et ça repartait en pétarades, je faisais la roue, fallait me voir, un dindon! je vous dis, quel panache! je me pavanais comme ses paons qu'on voit dans les zoos, je vous prenais de ces airs, des envolées lyriques décousues, je me voyais en Salvadore Dali avec sa moustache en handlebar, faisant tournoyer sa canne à l'hotel Meurisse, Luis Mariano avec sa belle de Cadix peut aller se rhabiller, Georges Clooney dans la "pub" Nespresso, avec un sourire en coin, un sourcil relevé, front plissé et son ridicule " What else?" était minable, j'étais un roi, le roi de Prusse, que dis-je? le bon Roi Dagobert himself! avançant comme un toréro, dans mon habit brodé et mon sobrero à plumes, sous les olé! de la foule bariolée en Catalogne, brillant de mille feux, oh! solé mio! j'allais à la rencontre de Lilly Marlène! au plus haut de mon élan, les nuages factices et cotonneux dans lesquels je flottais ne tardent pas à se dissiper pour me laisser retomber en "torche" comme ces parachutistes malheureux qui rataient leur saut, la drag-queen, l'extraterrestre, la chimère, pareille au génie de la lampe d'Aladin s'élevait comme une montgolfière dans le ciel, une aurore boréale, dansante, faisant de moi un Don Quichotte de la Mancha pathétique sur une mule cachectique et décharnée.

Encore une fois et comme je vous l'avais déjà ressassé: elle était on ne peut plus allemande!, deutsche! german! mais les douches qu'elle me faisait prendre étaient elles, bien écossaises! so scottish!

Au fil des jours, je découvrais la personnalité de M.I.S, qui était à la fois une femme mûre au sens de la plénitude physique, de l'expérience de la vie, et une fillette sur le plan de ses réactions spontanées qui j'avoue me surprenaient parfois, tout en interprétant cela comme un réflexe féminin de défense pour contenir un " mâle trop entreprenant", cela ne durait que quelques instants, le temps j'imagine qu'elle se ressaisisse en pensant que sa réaction était inadaptée à la situation, et qu'elle avait dramatisé.

Il m'en a fallu des trésors d'ingéniosité pour maintenir le cap, me rappelant que cette nouvelle que j'écris doit, en principe aboutir à une " happy end", elle avait le don inné de trouver le déclic idéal pour me remettre sur la voie, le geste simple qui remettait de l'ordre et ouvrait les portes, comme par exemple, mettre en ligne une vidéo de ma ville qui je crois l'attire, elle aimait ce mystère de découvrir des endroits, des rues où "l'autre" vadrouille, le résultat est là, elle projette de venir à Béjaïa!!!!!!Youpiiiiiiiii.
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